SYNDIC DE COPROPRIÉTÉ
Un syndic réactif, une gestion à la pointe !

C

Nos Engagements pour vous satisfaire :

Disponibilité

Pointe immobilier assure une présence téléphonique continue du lundi au jeudi, de 9h à 18h, et le vendredi jusqu’à 16h. Nous nous engageons également à répondre à tous les emails dans un délai maximal de 24 heures ouvrables.

Présence sur le Terrain

Nous effectuons des visites de vos copropriétés, accompagnées par un représentant du conseil syndical. Chaque visite fait l’objet d’un compte-rendu complet, accessible sur votre portail copropriétaire en ligne.

Transparence

Nous assurons une communication claire et complète des informations relatives à votre immeuble, sur votre espace copropriétaire en ligne. En outre, le conseil syndical bénéficiera d’un accès étendu, incluant les détails des factures et des comptes bancaires. C’est la garantie d’une transparence totale et d’une gestion de confiance.

Optimisation des Dépenses

Nous nous engageons à réduire les dépenses excessives. Nous mettons systématiquement en concurrence les fournisseurs et réévaluant les budgets pour assurer le meilleur rapport qualité-prix. Cette démarche est effectuée de manière récurrente et périodique. Nous vous assurons ainsi une optimisation constante des dépenses de votre copropriété.

L’Équipe et le Service

Pointe Immobilier s’engage à maintenir une équipe dédiée, avec une charge de travail bien équilibrée. Cela assure une disponibilité constante pour nos clients. Gage d’une gestion efficace et attentive de chaque copropriété.

Question fréquentes

Qui doit signer la feuille de présence lors d'une assemblée générale de copropriété ?

L’assemblée générale de copropriété est un événement crucial dans la gestion d’une copropriété, et la feuille de présence joue un rôle essentiel dans sa légitimité. Voici ce que vous devez savoir :

 

  1. Signature Obligatoire des Copropriétaires : Chaque membre de la copropriété présent est tenu de signer la feuille de présence. Cette formalité permet de vérifier l’identité et la participation effective des copropriétaires, assurant ainsi la validité des délibérations de l’assemblée.
  2. Rôle Central du Syndic : Bien que les textes légaux ne spécifient pas explicitement qui doit tenir la feuille de présence, la pratique courante attribue cette responsabilité au syndic de copropriété. Ce dernier peut choisir un format papier ou électronique pour la feuille de présence, renforçant la flexibilité et l’efficacité du processus.
  3. Certification par le Président de Séance : Après la tenue de l’assemblée, le président de séance a pour obligation de certifier l’exactitude de la feuille de présence, qui est ensuite annexée au procès-verbal. Cette étape est cruciale pour garantir la transparence et la légitimité des décisions prises.
  4. Accès et Obligations Légales : Selon l’article 33 du Décret n°67-223 du 17 mars 1967, le syndic est obligé de fournir des copies certifiées conformes des procès-verbaux et de leurs annexes, y compris la feuille de présence. Cela assure la transparence et le droit des copropriétaires à l’information.
  5. Informations Essentielles sur la Feuille : La feuille de présence doit contenir des informations détaillées telles que les noms, domiciles des copropriétaires, les modalités de leur participation (présence physique, représentation, visioconférence, etc.), ainsi que le décompte des voix.

 

En résumé, la feuille de présence en assemblée générale de copropriété est un document fondamental qui assure la régularité et la légitimité des décisions prises. Sa gestion appropriée par le syndic et sa vérification par le président de séance sont des étapes clés pour le bon déroulement de la copropriété.

Quand débute le contrat du syndic de copropriété ?

La gestion d’une copropriété nécessite une organisation rigoureuse et le respect des réglementations en vigueur, notamment en ce qui concerne le contrat du syndic. La durée et le début du contrat du syndic de copropriété sont encadrés par la loi et doivent être clairement définis dans le contrat.

 

  1. Définition du Contrat : Le contrat de syndic de copropriété, défini par le décret n°2015-342 du 26 mars 2015, est un document essentiel qui détermine les missions du syndic, la durée du contrat ainsi que les modalités de rémunération. Ce contrat doit être approuvé annuellement lors de l’assemblée générale des copropriétaires​​.
  2. Durée Maximale du Contrat : La durée du mandat du syndic ne peut excéder trois ans, conformément à l’article 28 du Décret du 17 mars 1967. Ce délai représente une limite maximale, les parties étant libres de convenir d’une durée plus courte, adaptée aux besoins spécifiques de la copropriété. Il est également possible de définir des durées atypiques en fonction des exigences de la copropriété​​.
  3. Date de Début Spécifique : Le contrat doit impérativement contenir une durée déterminée, avec une indication précise des dates de début et de fin. Cette exigence découle de l’article 29 du Décret du 17 mars 1967. Il est important de noter que les dates doivent être spécifiques et ne doivent pas dépendre de la tenue de l’assemblée générale pour éviter toute ambiguïté sur la durée effective du contrat​​.
  4. Renouvellement du Contrat : Le contrat de syndic est renouvelable, mais tout renouvellement doit être voté en assemblée générale à la majorité absolue. Dans le cas d’un non-renouvellement, il est nécessaire de planifier l’ordre du jour d’une assemblée générale pour désigner un nouveau syndic et fixer une date de fin anticipée du contrat en cours​​.

 

En conclusion, le début du contrat du syndic de copropriété est une composante cruciale de la bonne gestion d’une copropriété. Il est impératif de respecter les normes légales et de s’assurer que toutes les parties comprennent clairement les termes du contrat, y compris sa durée et sa date de commencement.

Comment gérer un syndic de copropriété incompétent ?

La gestion d’une copropriété implique parfois de faire face à un syndic incompétent. Prendre les mesures adéquates est crucial pour assurer une gestion saine et efficace de votre copropriété. Voici les étapes clés à suivre :

 

  1. Identification des Problèmes : Commencez par identifier clairement les problèmes rencontrés avec le syndic. Cela peut inclure un manque de communication, des erreurs dans la gestion financière, une négligence dans l’entretien des parties communes, ou tout autre manquement à ses obligations légales.
  2. Communication avec le Syndic : Adressez vos préoccupations au syndic par écrit. Cette communication formelle est essentielle pour documenter vos démarches. Vous pouvez demander des explications, des corrections, ou l’adoption de mesures spécifiques pour remédier aux problèmes identifiés
  3. Mobilisation des Copropriétaires : Rassemblez les copropriétaires pour discuter des problèmes et unifier votre position. La force du nombre peut inciter le syndic à prendre vos préoccupations plus au sérieux.
  4. Consultation des Textes Légaux : Référez-vous à la loi et au règlement de copropriété pour vérifier les obligations du syndic et les procédures à suivre en cas de manquement.
  5. Convocation d’une Assemblée Générale Extraordinaire : Si nécessaire, demandez la convocation d’une assemblée générale extraordinaire pour discuter des problèmes avec tous les copropriétaires et prendre des décisions collectives.
  6. Changement de Syndic : En cas d’insatisfaction persistante, envisagez de changer de syndic. Cela implique de mettre le changement de syndic à l’ordre du jour d’une assemblée générale, de rechercher des candidatures alternatives et de voter pour un nouveau syndic.
  7. Recours Juridique : Si le syndic commet des fautes graves ou ne respecte pas ses obligations contractuelles, un recours juridique peut être envisagé. Consultez un avocat spécialisé en droit immobilier pour évaluer cette option.
  8. Information et Formation : S’informer sur vos droits en tant que copropriétaire et vous former aux aspects de la gestion de copropriété peuvent vous aider à mieux contrôler la situation et à prendre des décisions éclairées.

 

En agissant de manière réfléchie et organisée, vous pouvez efficacement faire face à un syndic de copropriété incompétent et veiller à la bonne gestion de votre copropriété.

Qui est autorisé à assister à une assemblée générale de copropriété ?

L’assemblée générale (AG) des copropriétaires est un moment clé dans la vie d’une copropriété. Comprendre qui peut y assister est essentiel pour une gestion transparente et efficace de la copropriété. Voici les principaux acteurs ayant le droit d’y participer :

 

  1. Les Copropriétaires : Tout copropriétaire, détenteur d’un lot dans la copropriété, a le droit d’assister à l’AG. Ce droit est inaliénable et permet à chaque copropriétaire de participer aux décisions affectant la gestion de la copropriété.
  2. Les Mandataires : Les copropriétaires ne pouvant assister à l’AG peuvent se faire représenter par un mandataire. Ce dernier peut être un autre copropriétaire ou toute autre personne de choix, dans le respect des limites fixées par le règlement de copropriété ou la loi.
  3. Le Conseil Syndical : Les membres du conseil syndical, élus par les copropriétaires pour les représenter, ont également le droit d’assister à l’AG. Leur rôle est d’assister le syndic dans ses missions et de contrôler sa gestion.
  4. Le Syndic : Le syndic, professionnel ou bénévole, est chargé de la gestion courante de la copropriété. Il organise l’AG, exécute les décisions prises et doit y assister pour présenter son rapport de gestion.
  5. Les Invités avec Voix Consultative : Le syndic peut inviter des experts ou des professionnels (comme un architecte, un comptable, etc.) pour fournir des éclaircissements sur des points spécifiques. Ces invités ont une voix consultative mais ne peuvent pas voter.
  6. Les Locataires : Si les locataires n’ont généralement pas le droit de vote, ils peuvent être invités à certaines parties de l’AG traitant des questions les affectant directement, surtout dans les copropriétés avec un grand nombre de locataires.

 

Il est important de noter que le droit d’assister à l’AG est réglementé par la loi et le règlement de copropriété. Le respect de ces règles garantit une gestion harmonieuse et démocratique de la copropriété.

Est-il obligatoire d’enregistrer une copropriété en France ?

La réponse est oui. L’immatriculation des copropriétés est une obligation légale en France. Cette démarche, encadrée par des textes de loi précis, vise à améliorer la transparence et la gestion des copropriétés.

 

  1. Obligation d’Immatriculation : Toutes les copropriétés doivent être immatriculées dans un registre national. Cette obligation, qui s’applique depuis le 1er janvier 2019 pour toutes les copropriétés, quelle que soit leur taille, est essentielle pour garantir un suivi efficace des copropriétés en France​​.
  2. Rôle du Syndic et du Notaire : L’immatriculation est généralement effectuée par le syndic ou par un notaire, notamment lors de la création d’une copropriété ou lors de la vente d’un lot. Le syndic doit s’assurer de la mise à jour annuelle des informations de la copropriété dans ce registre​​​​​​.
  3. Informations à Fournir : Le registre d’immatriculation des copropriétés contient des informations détaillées sur la copropriété, y compris des données financières, des informations sur le bâti, et des détails concernant les procédures administratives ou judiciaires éventuelles​​​​.
  4. Conséquences de la Non-Immatriculation : En cas de non-immatriculation, l’Agence nationale de l’habitat (Anah) ou un copropriétaire peut mettre en demeure le syndic, et des astreintes peuvent être appliquées en cas de non-respect de cette obligation. De plus, l’absence d’immatriculation peut empêcher la copropriété de bénéficier de certaines subventions​​.
  5. Coût de l’Immatriculation : La création du registre d’immatriculation peut entraîner des coûts initiaux, mais ces frais font partie des missions de gestion courante du syndic et ne doivent pas être facturés comme une prestation particulière pour la mise à jour annuelle de l’immatriculation​​.

 

En conclusion, l’enregistrement d’une copropriété est une étape essentielle pour assurer une gestion transparente et efficace des copropriétés en France. Elle permet aux autorités et aux copropriétaires d’avoir un aperçu clair de l’état des copropriétés, contribuant ainsi à une meilleure gestion du parc immobilier.

À quelle fréquence un syndic doit-il organiser une assemblée générale de copropriété ?

L’organisation régulière des assemblées générales (AG) est une composante essentielle de la bonne gestion d’une copropriété. Voici les principales directives concernant la fréquence des AG :

 

  1. AG Annuelle Obligatoire : Le syndic doit organiser une assemblée générale au moins une fois par an. Cette exigence légale permet aux copropriétaires de se réunir pour prendre des décisions importantes concernant la gestion de l’immeuble, la révision du budget, les travaux à réaliser, etc.
  2. Délai Légal : L’AG annuelle doit se tenir dans les six mois suivant la clôture de l’exercice comptable de la copropriété. Ce délai permet de présenter les comptes annuels et de prendre des décisions sur la base d’informations financières actualisées.
  3. Assemblées Générales Extraordinaires : En plus de l’AG annuelle, le syndic peut convoquer des assemblées générales extraordinaires à tout moment si des décisions urgentes ou importantes doivent être prises. Ces AG extraordinaires peuvent être demandées par le syndic, le conseil syndical, ou un certain pourcentage de copropriétaires.
  4. Sujets Traités : Les AG annuelles traitent généralement de l’approbation des comptes, de la nomination ou du renouvellement du syndic, des travaux à réaliser, et des décisions relatives à la gestion quotidienne de la copropriété. Les AG extraordinaires se concentrent sur des sujets spécifiques nécessitant une attention rapide.
  5. Droit de Convocation : Bien que le syndic soit chargé de la convocation des AG, les copropriétaires ont le droit de demander la tenue d’une AG, notamment en cas de situations nécessitant une intervention rapide.
  6. Communication et Convocation : Le syndic doit informer les copropriétaires de la date de l’AG en respectant un délai de convocation suffisant, généralement 15 jours avant la réunion, en fournissant l’ordre du jour et les documents nécessaires à la prise de décision.

Le respect de ces directives par le syndic assure une gestion transparente et démocratique de la copropriété, permettant aux copropriétaires de participer activement aux décisions qui les concernent.

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